Au cours de la première quinzaine, l’offre globale de Sweet a été très largement inférieure à la demande, plusieurs opérateurs ne recevant qu’à peine 20 % de leurs volumes habituels. L’extrême faiblesse de l’offre a entraîné une forte hausse des cours, qui ont atteint leur point culminant en fin de première quinzaine. Au cours de la deuxième quinzaine, l’augmentation progressive mais conséquente des volumes de Sweet, alors que la demande était atone, a entraîné les prix à la baisse. Les ventes ont été plus compliquées et seuls les opérateurs engagés dans des opérations de promotion sont parvenus à rester fluides et à éviter la constitution de stocks. En toute fin de mois, les cours pratiqués étaient bien moins élevés qu’en début de mois et la faiblesse de la demande laissait craindre une nette dégradation des conditions de marché pour les mois à venir.
Tout au long du mois, l’offre globale a été limitée sur le marché avion. Ce sont surtout les fruits du Bénin et du Cameroun qui ont été moins présents. L’offre ivoirienne, plus conséquente, n’a pas réussi à combler le déficit des autres origines. Sur l’ensemble du mois, le marché est resté bien orienté, avec des cours qui n’ont cessé de se raffermir. Les ventes de Pain de sucre, toujours affectées par une demande moins intéressée par des fruits peu colorés, ont néanmoins été fluides avec des niveaux de prix très soutenus et stables à 2.00 euros/kg.
L’offre a également été très limitée sur le marché du Victoria. La faiblesse des volumes mis en marché a facilité l’écoulement des fruits à des cours soutenus tout au long du mois.
Cliquez sur "Continuer" pour poursuivre vos achats ou sur "Voir votre panier" pour terminer la commande.
