La consommation a été au rendez-vous en ce début d’année, stimulée par un contexte dégagé en fruits concurrents et des températures fraîches favorables aux ventes. En janvier, la transition entre Nules/Clemenvilla et hybrides tardifs s’est déroulée précocement : les derniers volumes déficitaires de clémentine n’ont pu être compensés par les autres variétés (Hernandine, Ortanique, démarrage précoce de la Nadorcott). En février, la transition a été effective et le marché s’est montré plus allégé. Les hybrides tardifs ont pris le dessus avec un approvisionnement modéré. Le déficit d’Or d’Israël s’est creusé (pertes suite aux pluies en production) et le Nadorcott du Maroc a été peu présent en France. Enfin, les expéditions espagnoles de Nadorcott se sont nettement accélérées. Les prix sont restés fermes et supérieurs à ceux des années passées.
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