Le début d’année a été marqué par une offre globale modérée de la part de tous les fournisseurs. Côté Floride, un bon équilibre s’est installé début janvier en raison d’une demande calme mais en phase avec la faible offre disponible (déficit toujours de 30 %). Les prix du pomelo floridien sont donc restés à des niveaux élevés. Côté origines méditerranéennes, la baisse précoce de la Turquie et la faible présence de la Floride ont bénéficié aux pomelos d’Israël et d’Espagne. Les sorties se sont accélérées en février, notamment en raison de la mise en place de programmes de promotion. Les prix se sont raffermis à partir de mi-janvier, en particulier pour le pomelo israélien qui pâtit d’un taux de change peu favorable à l’exportation cette année, atteignant ainsi des niveaux records pour la période.
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